Une famille libertine sympa

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il y a 9 ans

Une famille libertine sympa

Auteur : Zizou

Jim est mon ami d'e n f a n c e. Depuis toujours nous partageons tout, les joies, les peines, les histoires de cœur, les histoires de cul. Je connais sa famille depuis longtemps et ils m'ont toujours accueilli avec gentillesse et générosité. Quelquefois Jim m'hébergeait pour la nuit dans la villa parentale. C'était une maison coquette où ma chambre était au premier étage, entre la salle de bain et la chambre des parents. Jim lui couchait au rez de chaussée sur le divan. Cette journée là avait été sympathique.

Nous avions profité du soleil près de la piscine. Sandra, la mère de Jim était allongée sur un matelas, sur le ventre. Le soleil chauffait les corps et peut être aussi les esprits ! Toujours est-il que ce qui se passa à ce moment fut tout aussi inattendu qu'agréable.

Lassé du soleil, Jim et son père décidèrent de rentrer se mettre au frais pour entamer la sempiternelle partie d'échec. Ils étaient accrocs de ce jeu et ne perdaient jamais une occasion de s'affronter dans des joutes interminables. Je restais donc là, alangui à deux mètres de Sandra, toujours sur le ventre.

  • Alors Gilles, tu apprécies la piscine ?

  • Oui madame, merci pour l'invitation !

  • Pourrais-tu avoir l'obligeance de me passer l'huile solaire s'il te plaît ?

  • Bien sûr ! tenez !

Délicatement, la mère de Jim dévissa le bouchon et entrepris de se masser les cuisses.

  • Je n'arrive pas à me masser le dos, peux-tu m'aider Gilles ?

  • Bien sûr.

Je me positionnais donc à côté de Sandra et huilais abondamment mes mains. Celles-ci glissaient entre le haut de son slip et son haut de bikini. Sandra était vraiment très belle encore. Cette femme de 45 ans avait gardé une taille de guêpe et sa poitrine était très voluptueuse, enserrée dans son petit bikini. Mes mains huilaient maintenant les dos de ses cuisses, un endroit qui pourtant ne nécessitait pas qu'on y revienne. Mais bon, mes mains massaient délicatement les jambes et s'arrêtaient bien avant l'entrecuisse.

  • Cela ne te dérange pas si je dégrafe mon soutien-gorge ?

Je ne répondis pas ! Elle n'avait d'ailleurs pas attendu ma réponse ! Elle était maintenant sur le ventre, accoudée, la tête en avant laissant apparaître sa nuque délicate. Cette position faisait apparaître ses seins lourds mais fermes. Mes mains glissaient maintenant sur son dos et entouraient sa taille. En remontant, ils effleuraient le coté des deux seins. J'aurais parié qu'elle ne s'en rendait pas vraiment compte mais elle écarta ses deux jambes subrepticement. Mes mains fleurtaient maintenant avec ses cuisses mais remontaient plus avant et effleuraient l'entrejambe de Sandra.

Elle se retourna avec un sourire et écarta ses jambes un peu plus comme une invitation, un encouragement. J'osais donc l'impensable et frottais ostensiblement l'entrecuisse de Sandra. Mes doigts coulissaient doucement sur le tissu ce qui mettait en valeur la fente de la chatte de Sandra.

Inutile de dire que mon sexe était depuis longtemps en érection, turgescent et je sentais couler, les prémices du plaisir. J'aventurais un doigt sous le tissu et je rencontrais dans cette position immédiatement l'ouverture de son vagin. Mes caresses visiblement ne la laissaient pas indifférente ! Mon doigt coulissait doucement et l'huile rendait cela très agréable. En remontant vers l'avant, j'atteins son clitoris, ce qui induit un petit gémissement de la mère de Jim. Vers l'arrière, j'atteins son anus et je me rendis compte que cette zone ne lui était pas insensible non plus ! Les pointes de ses seins se durcissaient comme ma bite qui maintenant se dressait comme pour sortir de mon slip. Un bruit de pas, de conversations et la certitude que la partie d'échec était terminée mit un point final à ce petit jeu qui nous laissait sur notre faim. Il était tard maintenant !

  • Tu restes pour dîner Gilles ?

  • Merci madame

Le dîner fut convivial. Sandra, en face de moi me dévisageait tellement (ou du moins il me le semblait) que j'avais l'impression que tout le monde s'en apercevait. Si c'était le cas, ils ne s'en émouvaient pas particulièrement. Jim à ma gauche et son père à ma droite se taquinaient en commentant la partie d'échec. Sandra n'était pas concernée par la discussion. Elle était resplendissante. Elle avait revêtu pour le dîner une petite robe très courte qui moulait ses seins laissés libres en la circonstance. Le repas se déroulait bien quand je sentis sur ma jambe, le pied de Sandra.

Celui-ci remontait doucement le long de mes jambes nues (en effet je ne portais qu'un caleçon très ample). Elle remonta assez haut pour toucher de son orteil mes couilles pleines du jus qu'elles n'avaient pas pu évacuer précédemment. Les petits mouvements des orteils sur mes couilles et le long de la hampe de ma verge faisaient bien plus que m'émoustiller. Mon sexe, de nouveau bandait fort. J'étais gêné et redoutais que l'on s'en aperçoive ! Mais non ! Mes voisins vaquaient à leurs débats passionnés. Je fis tomber mon couteau, prétexte que je trouvais bien commun, pour regarder sous la nappe.

Sandra avait bien compris le message et entrouvrit ses cuisses pulpeuses. Par un geste furtif de sa main, elle dévoila sa chatte et, extase, je vis qu'elle était totalement épilée, ce qui démasquait son petit bouton turgescent. Sous peine de passer pour un plongeur sous-marin en exercice, je me relevais et là encore, restait interloqué et insatisfait.

Jim me sortit de ma torpeur. Bon je vais préparer le divan ! Pas question que tu rentres ce soir. Tu restes Hein ? Ok !

Après une soirée télé où mes pensées flottaient entre l'épisode piscine et l'intermède repas, tout le monde décida de monter se coucher. En caleçon toujours, je me dirigeais vers les toilettes quand je croisais Sandra qui en revenait. Elle portait maintenant un petit string transparent sous une nuisette non moins transparente. Le galbe de ses cuisses, sa taille fine, son cul parfait et ses seins, oui vraiment, elle n'avait rien à envier aux demoiselles qui étaient jusqu'alors passées au fil de ma queue.

  • Bonsoir Gille, passe une bonne nuit me dit-elle en me donnant un petit baiser tendre et superficiel sur les lèvres.

  • Bonsoir Madame ! Les événements de la journée n'avaient pas altéré le sentiment de respect et de politesse vis à vis de la mère de Jim.

Allongé sur mon lit, je n'arrivais pas à trouver le sommeil et j'imaginais le corps de Sandra et les jeux auxquels nous aurions pu nous livrer. J'échafaudais aussi les scenarii possibles qui me permettraient de concrétiser mon envie de la baiser, longtemps, et de manière imaginative.

Quand j'entendis quelques soupirs dans la chambre à côté ! Qu'est ce que je fais, je fais la sourde oreille, je me lève, je vais voir ce qui se passe ? Les alternatives se bousculaient dans ma tête alors que les soupirs devenus gémissements s'amplifiaient et devenaient non ambigus. Sandra et son mari baisaient et cela semblait bon ! Je me levais donc, bien décidé à apercevoir quelque chose. Dans le couloir, la lumière filtrait de l'entrebâillement de la porte de la chambre à coucher. Je m'approchais. Sandra était nue, allongée sur le côté et son mari, Jacques lui ramonait le con sans ménager sa peine. Il relevait avec ses mains la cuisse de Sandra ce qui faisait apparaître sa chatte totalement glabre. La bite de Jacques limait fort. Sa bite me sembla très grosse, plus que la mienne en tout cas et elle luisait maintenant du jus de Sandra.

Elle jouit beaucoup dans de grands cris qui me firent penser qu'ils ne cherchaient pas particulièrement à se cacher. Je ne sais si c'est un bruit qui les alerta où s'ils étaient sûrs que je matais, toutefois j'entendis " Gilles, tu es là ?". Je poussais timidement la porte en m'excusant de me trouver là et arguant d'une envie pressante qui m'avait fait me lever. Entre gilles ! Cette fois c'est Jacques qui m'invitait à entrer. Je pénétrais donc penaud dans la chambre.

  • Alors gilles, tu regardais ?

  • Euh, non ! Euh, enfin si ! Pas vraiment enfin, euh... !

  • Ne sois pas timide. Approche. Comment trouves-tu Sandra dit-il en passant sa main sur les fesses de sa femme.

  • Elle est très belle monsieur.

  • Sandra écarte ta chatte et montre-la à Gilles

  • Sandra écarta les jambes, et de ses doigts, écarta les lèvres roses

  • As-tu déjà vu une chatte épilée comme cela. Il joignait le geste à la parole et caressait doucement la moule de sa femme.

  • Non monsieur, c'est la première fois !

  • As-tu envie de la lécher ?

  • Monsieur, si vous le permettez, j'aimerais assez.

  • Sandra, allonge-toi sur le ventre et cambre ton cul que Gilles puisse lécher ton con et remonter pour te lécher l'anus.

  • Elle s'exécuta et j'avais maintenant devant moi, offerte, une femme de 45 ans qui m'exhibait son con luisant.

Je m'approchai et palpais ses fesses tout en les écartant doucement. Son anus rose était magnifique et j'entreprenais de lui fourrer ma langue bien profondément. Ma langue commença à lécher le fion offert puis ma langue l'encula doucement. Après un long moment, je descendais vers sa chatte qui dégoulinait du foutre de son mari. Cela ne m'émeut pas plus que cela et j'enfonçais ma langue dans son vagin. Le goût du foutre ne me parut pas si désagréable. Pendant que je léchais la chatte, le mari enfonça un doigt profondément dans le cul de sa femme. Je bandais comme un taureau et son mari commençait à récupérer de sa cavalcade. Son sexe commençait aussi à durcir. Sandra se retourna subitement et nous regarda.

  • Je suis gâtée aujourd'hui ! Deux bites rien que pour moi !

Et elle joint le geste à la parole en attrapant nos deux queues.

Elle se rapprocha et entreprit de nous sucer alternativement. Sa bouche enfournait ma queue, pendant que ses mains asticotaient mes couilles qui commençaient à me faire mal. Sa science visiblement consommée de la fellation et son habilité m'amenaient de nombreuses fois près de l'extase sans m'autoriser à m'y abandonner. Tout en me suçant, elle branlait vigoureusement la queue de son mari.

  • Maintenant il est temps que tu baises ma femme. Oui, il était temps ! Je n'en pouvais plus ! Sandra se redressa, prit ma bite dans sa main et la dirigea vers sa chatte trempée. Elle était maintenant à califourchon. Pendant que je la baisais comme un salaud, en essayant de me retenir désespérément, son mari positionné derrière elle lui caressait le cul. Sa main, descendant plus avant commença à caresser mes couilles

  • Tu aimes ça, Ce euh, ce n'est pas désagréable !

  • Je vois que tu es un sensuel. Sandra allonge-toi sur lui que je t'encule.

  • Sandra se positionna et son mari bien délicatement, doucement mais profondément l'encula. Il ramonait bien et je sentais à travers le vagin de sa femme, les coups de boutoir de sa grosse bite. Sandra gémissait, hurlait même de plaisir.

  • Ah, je veux votre foutre dans ma gorge ! Elle desserra les étreintes et vînt positionner sa tête en dessous de nos deux bites. Elle prit la main de son mari et la dirigea sur ma bite. Jacques me branlait et j'aimais ça ! Je jouis le premier. Le jet chaud et copieux fut avalé goulûment par Sandra. Elle appuya sur la tige de mon vit et récupéra le dernier jet.

  • C'est bon tu sais Gilles, tu veux goûter ?

  • Je restais interloqué par la question. Plus d'ailleurs par sa soudaineté que par sa hardiesse. Sans attendre ma réponse, elle m'allongea sur le lit et positionna Jacques au-dessus de moi. Ses grosses couilles pendaient alors que Sandra le branlait énergiquement. Je ne sais ce qui me prenait mais je commençais à caresser les couilles lourdes de Jacques. Sa bite palpitait. Dans un râle de plaisir, il commença à éjaculer. Le flot inonda ma figure. Sandra avidement lécha le foutre et quand elle eut tout récupéré, elle me roula un voluptueux patin où salive et foutre se mêlaient intimement. Elle se releva au-dessus de moi et laissa couler le reste de sa salive que j'avalais avec plaisir.

Cette première expérience de plaisir total était extraordinaire. Mais il était dit que le répit ne durerait pas.

  • As-tu envie d'enculer mon mari. Sandra, là encore me surprenait. Mais ma réaction aussi. J'étais dans un état d'excitation où j'aurais bien enculé un cheval ! Oui j'ai envie dis-je d'un ton plus assuré. Sandra découvrit de dessous la tablette de sa table de chevet un tube de vaseline. Visiblement, elle avait déjà été utilisée !

  • Tu sais, dit Sandra, j'encule Jacques assez souvent ! Il adore se faire enculer par une femme. Pour cela j'utilise ça dit-elle en sortant un gode de taille respectable. Elle mit un peu de vaseline sur ses doigts et enduit soigneusement la rondelle de son mari. Son cul était d'ailleurs très accueillant puisque Sandra introduisit ses trois doigts sans problème. Elle enduit ensuite ma bite de vaseline.

  • Vas-y ! Bourre-lui bien le cul ! Vide tes couilles dans le fion de Jacques dit-elle, visiblement excitée à l'idée de voir son mari se faire enculer par un homme. Je me positionnais en face de sa rondelle et pénétrais doucement. Vas-y plus fort. Je l'empoignais par les hanches et l'enculais maintenant bien profondément. Je le ramonais à fond, poussant vers l'avant. Le contact de mes couilles avec ses fesses était agréable. Sa bite était au repos et mes mains, tout en le sodomisant s'activaient et palpaient sans vergogne sa bite et ses couilles pendantes dans cette position. J'étais maintenant sur le point de jouir et Sandra, en grande experte s'en était aperçu.

  • Ne jouis pas encore, ralentis, profite de ce cul accueillant. J'obéis et alors que je récupérais de mon self control, elle saisit le gode

  • Toi aussi tu vas y goûter ! Je vais t'enculer pendant que tu encules Jacques.

J'eus un instant l'envie de refuser quelque chose qui m'avait toujours, du moins en théorie, répugné. Et puis non, dans cette folie ambiante, je ne répondis pas ce qui constituait un acquiescement !

  • Elle s'approcha de mon anus avec le gode lubrifié et pénétra doucement un petit centimètre. Dire que cela me plût immédiatement serait mentir. Je sentais une douleur aiguë. Mon anus puceau souffrait malgré le tact et l'expertise de Sandra. Mais, doucement la douleur s'estompa et une sensation qui n'était pas encore du plaisir mais qui néanmoins n'était pas désagréable m'envahit. Son gode était maintenant bien dans mon anus pendant que je ramonais toujours Jacques qui semblait adorer.

Sandra maintenant m'enculait bien profond et je commençais à apprécier. Par en dessous elle touchait mes couilles et la base de ma bite à chaque va et vient. J'allais exploser et elle le sentit.

  • Viens dans ma bouche. Je sortis de Jacques alors que le gode était toujours dans mon cul. Elle me branla tout en maintenant le gode dans mon fion. Dieu que c'était bon.

  • Laisse m'en un peu ! Jacques venait de se positionner près de la bouche de Sandra et voulait visiblement sa part de ma semence. Celle ci ne tarda pas. Elle fut abondante et tous les deux se délectèrent du foutre chaud.

  • Je me laissais tomber sur le lit, exténué, les yeux fermés. Je fus sorti de ma torpeur par le jet odorant et chaud sortant de la bite de Jacques.

Il visait soigneusement ma figure sans atteindre, peut être par scrupule, ma bouche.

  • Tu sais que c'est bon. Pisse-moi dans la bouche. Sandra ne posait pas une question, c'était un ordre. J'avais en fait une envie très pressante. Je lui pissais donc dessus sans effort. Elle positionna sa bouche sous le jet fourni et avala goulûment. Ce fut le dernier extra de cette soirée.

  • La prochaine fois, j'inviterai ma belle-sœur à se joindre à nous. Elle adore les jeunes hommes endurants et bien membrés.

  • Je retournais dans ma chambre, exténué mais ravi, jurant, mais un peu tard qu'on l'y reprendrait... souvent !

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